Kezako mundi 63

Et toi, en quoi tu crois ? »

« Moi, je crois en moi ! »

« Moi, je ne crois que ce que je vois ? »

« Pas d’accord, Dieu, je ne le vois pas, et pourtant, moi, j’y crois. »

« Moi, je ne crois pas en un dieu ou une force supérieure, mais je crois au lien, en l’amitié. »

« Moi, je crois à tout ce que dit mon youtubeur favori ! »

« Et moi, si ce n’est pas prouvé par des scientifiques, vérifié… je n’y crois pas. Je me méfie des rumeurs et des fake news. »

« Ok, mais l’un n’empêche pas l’autre, on peut très bien croire en une religion, en soi et en l’amitié, par exemple. »

« Moi, je crois que l’essentiel est de respecter les croyances de chacun. »

Vous l’aurez compris, à travers ce dialogue fictif entre un groupe de personnes aux croyances diverses, nous évoquerons dans le dossier du mois les multiples formes que revêt le verbe « croire ». Et nous parlerons bien entendu de son acolyte, complexe, comme un idéal à atteindre… nommé le « savoir ».