Kezako mundi 30
Septembre 2019
32 pages
5,90 € TTC
Septembre 2019
32 pages
5,90 € TTC
Boulot, taf, turbin, le travail a été affublé de nombreux sobriquets au fil du temps. Il a été vécu aussi avec une plus ou moins grande pénibilité selon les emplois et les époques. Il est souvent, dans l’esprit collectif, ce qui s’exécute dans l’effort afin de recevoir à la fin du mois le fruit de son labeur (tiens, un autre terme…), qui permettra de combler nos besoins élémentaires (ou nos envies).
Le travail est ainsi aujourd’hui toujours lié à l’idée de « gagner sa vie », c’est-à-dire de pouvoir se nourrir, se loger, se vêtir, voire de s’adonner à ses loisirs et de prendre des vacances.
Pourtant, si l’effort et la source d’argent sont depuis longtemps liés à la notion de travail, beaucoup s’interrogent aujourd’hui et se demandent si ce lien est toujours pertinent. N’y aurait-il pas d’autres formes de contribution, d’autres activités qui mériteraient d’être considérées au même titre que le travail, comme les activités domestiques ou le bénévolat ?
Et les nouvelles technologies, Internet en tête, qui apportent leur lot de modifications, voire de révolutions, dans le monde du travail aussi. Tout cela ne change-t-il pas également de façon radicale notre manière d’envisager le travail ?